2003-06

NicOx n'exclut pas une fusion en cas d'échec de son projet avec AstraZeneca.
(Le Figaro 25/06/2003)

Dépêche APM 25/06/2003:
NICOX - ASTRAZENECA – PERSPECTIVES
Le laboratoire NicOx "commencera à penser à une fusion" si son partenaire, le groupe anglo-suédois AstraZeneca, abandonnait leur projet dans l'antalgie, a fait savoir Michele Garufi, président de NicOx, dans le Figaro-économie de mercredi.
La firme niçoise a vu le cours de son action fondre au cours des derniers mois, après l'annonce d'AstraZeneca, fin février, que le composé anti-inflammatoire AZD3582 n'avait pas rempli, lors d'une étude de phase II, son objectif principal lié aux effets secondaires gastro-intestinaux.
NicOx posséde de deux ans à deux ans et demi de trésorerie devant lui, selon un analyste financier cité par le quotidien.

Dépêche APM 25/06/2003:
NICOX - ASTRAZENECA – GARUFI
Le président de NicOx, Michele Garufi, a insisté, lors d'un entretien avec Reuters, qu'il était confiant quant à la solidité de son accord avec l'anglo-suédois AstraZeneca, tout en envisageant des accords avec d'autres laboratoires pour d'autres molécules.
Michele Garufi, qui tenait à évoquer à nouveau le sujet suite à un article récent du Figaro titrant sur la possibilité d'une fusion pour NicOx, a expliqué qu'il ne dirait pas non à une fusion dans le futur, tout en insistant sur le fait qu'il s'agirait de la dernière extrémité, au cas "peu probable" où sa firme ne trouverait plus de partenaires industriels pour le développement de ses produits.
Michele Garufi se dit optimiste sur les résultats de phase II de son antalgique AZD3582, qui devraient être selon lui positifs, quand ils seront publiés fin août.